Gweadegoù

Diskouezadeg livadurioù Gigi Le Merdy adalek an 11 betek an 21 a viz Mae. Digorlid an diskouezadeg d'al lun 10 a viz Mae da 18e30 e Yezhoù ha Sevenadur.

Evit klokaat diskouezadeg Gigi, kinnig a raio KDSK un diskouezadeg levrioù diwar-benn an Arz keltiek, ar gweadegoù, ar mandalas...

 

Gigi Le Merdy

 

D'entrelacs en arabesques, d'enluminures à volutes en enroulements, spirales, rinceaux et lignes sveltes, le trait de Gigi est foisonnant, souple, savant, et vagabond.

Il explore autant l'enluminure médiévale que le mystère des hiéroglyphes celtes, et se livre avec ivresse à l'exploration des formes les plus diverses, qui unissent les époques et les cultures les plus éloignées.

 

Mais, chez elle, la recherche du trait s'enrichit du travail sur la couleur, transparences, fluidités, précieuse couche dorée sur effets maritimes, couleur en profondeur, nuance en transparence.

 

Toutes les techniques sont conviées au grand ballet de sa palette sans exclusive, qui sait jouer tantôt avec le fluide aérien, tantôt avec le profond marin.

 

Richesse, diversité, maîtrise technique, au service d'une inspiration très personnelle : la griffe de Gigi se reconnaît au premier regard.

 

Née à Pontivy, Gigi Le Merdy vécut à Gourin avant de devenir nantaise. Mais sa réputation dépasse désormais les frontières de sa Bretagne natale.

 

Démarche Artistique... le travail de l'artiste à travers des extraits de presse

 

Nourrie de mythes celtiques la peintre nous offre une relecture originale de cette civilisation, sommes toute mystérieuse.

 

Gigi le Merdy serait-elle la Champollion du celtisme ?

Ce peintre autodidacte réalise des compositions semblant surgir de temps immémoriaux. Ces motifs se présentent comme des labyrinthes graphiques où l'oeil de spectateur se perd avec délice.

L'observateur exercé n'aura aucun mal à identifier des guerriers nus, des naïades gracieuses, ou encore des animaux fabuleux.

 

Chaque toile évoque en hiéroglyphe celte ou une de ces enluminures qu'on pourrait trouver dans un vieux grimoire.

Les hiéroglyphes celtiques de Gigi Le Merdy ne laisse pas d'émerveiller son public...

 

 Labyrinthe visuel

 

« Une chose est sûre, je ne suis pas historienne », s'amuse l'artiste. « Mon alphabet et mes motifs que je qualifie volontiers de celtes, sont en grande partie réinventés. Disons que la culture celte, au demeurant fort méconnue, même des spécialistes, est pour moi un motif de rêverie autour duquel j'aime à bâtir mes images ».

Née en Bretagne elle se distingue très tôt par son habileté en dessin. Un professeur admiratif l'inscrit aux cours des Beaux- arts.

 

Conquise, l'adolescente se voit bien devenir artiste. Les aléas de l'existence la ramèneront à une profession plus pragmatique. Devenu enseignante, Gigi Le Merdy n'abandonne pas ses crayons.

 

« Créer avec les enfants était un enchantement perpétuel ». Une initiative apparemment heureuse, puisque depuis elle n'a guère lâché ses pinceaux. Habituée des cimaises et des fêtes celtiques, elle a, outre ses toiles, réalisé de nombreux drapeaux, fanions, écussons, et lettres destinés à décorer les façades des châteaux, des mairies et des chapelles.

Pour le mariage de Karine et Xavier

 

« La cause bretonne me touche, mais il serait toutefois faux de me prendre uniquement  pour un porte-étendard » s'amuse ­elle.

 2001, 2003, 2005

 

Projets

Ne pas me limiter dans l'art celte et revenir de temps en temps «  à mes moutons » ou m'évader c'est à dire abstrait, figuratif, même peintures modernes... (Huile, aquarelle sur diverses matières).

 

Pour l'instant créer un abécédaire d'inspiration bretonnante et celte ; il sera édité cet été 2010.

Création de mon site cet été également.

 

Sans savoir où le vent me mène ... et inquiète quant à pouvoir tout faire.

Gigi Le Merdy

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